Bravo au député Maxime Gremetz, (chaine demain tv) d'avoir obligé son préfet à reloger dans des logements vacants 12 familles avec enfants qui avaient été expulsés.
Honte au député de droite lyonnais UMP lyonnais Georges Fenech qui porte bien son air et son nom, qui pue l'insuffisance et le confort personnel et se fiche totalement de la précarité, à voir son air dégoûté face à des réalités malheureuses mais évidentes. S'il n'aime pas s'occuper des autres,qu'il change de job.
Le pouvoir d'achat des salariés a baissé en France, cadres compris, l'argent n'est pas investi dans des secteurs ou des projets d'industrie, mais bien dans la finance (et je suis la première à le faire) où il ne manque pas, car rien n'est jamais organisé et clair pr étayer l'économie concrètement et créer de l'activité rentable et des emplois. La création de richesse et de valeur n'a jamais été l'objet du travail des politiques, qui n'y connaissent rien. L'Ena ne l'enseigne pas..et ces messieurs s'en foutent littéralement de toute façon.
En France, les riches ont intérêt (à cause de Fabius ancien ministre de l'économie derrière seulement son enseigne d'antiquaire) à acheter une toile d'un peintre contemporain plus ou moins côté plutôt qu'à transmetttre des fonds aidant des projets et de l'investissement dans l'économie réelle d'entreprises ou de PME, car ces derniers sfonds seront imposés, quand dans le premier cas, on en est exonérés sur les montants d'achats d'oeuvres d'art. Qui ont une valeur et que l'on pourra toujours revendre...
Bravo à Jacques Cotta qui dénonce dans son livre "7 millions de travailleurs pauvres", la réalité concrète des dégats économiques faits au logement et aux femmes et enfants qui pr certaines travaillent. Ce que j'avais déjà signalé dans un précédent post, parce que sans 3500 euros/mois, à Paris, on ne peut plus à quatre fois le montant du loyer, se payer un studio même moche à 700 euros/mois..quand les salaires ont peu bougé et pour certains restent bloqués aux 1500 euros bruts symboliques. Mais également ailleurs..
La loi de 1945 qui réquisitionne les logements vacants devrait oui servir à loger les personnes à la rue. Alors, oui, on fait peur aux propriétaires, dans ce cas, avec le bâton, mais..., en l'absence d'une vraie politique du logement, oui, on en est là.
Acculés. Avec des pans entiers de populations qui vivent en camping et dans leur voiture sans boite aux lettres et donc, sans adresse, sans compte en banque etc..alors qu'il pourraient pour certains en camping en avoir une ! et qu'elle soit forcée d'être acceptée par les établissements bancaires.
Mais que les politiques UMP s'en prennent à eux-mêmes si cela leur fait peur pour leur électorat, car à trop tirer sur la corde..comme ils l'ont fait, elle se casse. Car l'hypocrisie est forte, oui, ça agace de se retrouver avec des logements sociaux dans son quartier, et de devoir fréquenter des "pauvres" dans les commerces, mais enfin, n'y-a-t-il pas d'autres voies que le logement social pr réguler les excès des prix des logements...et garantir à des petits salaires un toit ?
Il faudra bien soit monter les salaires, soit baisser les prix des logements..d'une manière ou d'une autre si on ne veut pas avoir des cohortes de sans-abris dans les rues, alors que comme le souligne Jacques Cotta, on ne fait rien quand on est ds la rue, on ne dort pas, et si on arrive encore à travailler, à quoi cela sert-il si c'est pour survivre comme de pauvres hères ?
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