10.06.2008

Un record de stress historique pour les actionnaires

CAC40 : la baisse du jour va entrer dans l'histoire !
lun 06 oct, 16h57  Envoyer par mail  Envoyer via Y! Messenger  Blog via Yahoo! 360  Imprimer

Après la plus forte hausse journalière du CAC40 (Paris: actualité) le 19 septembre dernier (+9,27%), place à la plus forte baisse en séance depuis la création de l'indice de la bourse de Paris fin décembre 1987. Le CAC40 s'effondre actuellement de plus de 9% après avoir quasiment atteint les 10% de baisse jusqu'à 3.679 points vers 16h45.
La chute observée ce lundi est supérieure à celle du 21 janvier dernier (-6,83%) et même à celle du 11 septembre 2001, journée au cours de laquelle le CAC40 avait plongé de 7,39%.
A la veille de l'anniversaire également du lundi noir du 7 octobre 1987, l'indice montre que la volatilité est à son maximum.
Qu'il y a des raisons pour un maximum d'investisseurs de rester couchés en ayant pris bien soin de vendre leurs actions...? Bref, plus personne visiblement ne pense que les courbes seront ascendantes.
Perso, je parie pour un Cac à 3 000 comme lors de l'effondrement de l'indice au moment du dégonflement des investissements sur les valeurs interner, a priori les banques et le pétrole ou un maximum de secteurs sont suspectés par les fonds de décroître.
 
Ce qui ne m'empêchera pas de garder les actions de ma valeur immobilière telles quelles, de manière assez irrationnelle, mais la boîte continue à se développer, elle ne peut pas aller plus bas que les prix qu'elle a déjà en bilans, vus qu'ils sont largement décôtés..
 
Bizarrement, je ne panique pas parce que nous avons vu passer d'autres creux qui ont toujours fini par se recombler.
Par contre, serons-nous encore dans ce métier dans deux ans...? ou faudra-t-il ouvrir une pizzeria bio? Le goufre de Fifi-llonllon semble s'être matérialisé sous nos pieds aujourd'hui comme un rappel à l'ordre de la remontée équivalente et historique du mois dernier.
Je pense à cette sublime phrase de Paul Newman à son infirmière à son arrivée à l'hôpital : "la vie m'a servie de leçon : je ne recommencerai pas"
 

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