A savoir commencer à restreindre moi mes consommations de fonctionnaires par exemple..Mais bon, vu la dette publique dont j'ai bcp parlé, j'ai besoin moi de mes taxes pétrolières..Alors un effort à CT de soulagement auquel les gens s'habitueraient, non ! Z'ont qu'à pas prendre leur voiture ou pour les pauvres les plus visés, pas se chauffer au pétrole !! Y'a qu'à se gargariser sur ce qu'il faut faire pr dans 10 ans..et dériver l'oeil vers l'avenir pour éviter de voir qu'on s'enfonce dans le CT..! Non ? C'est bien du soixante-huitard, ça encore ou je ne m'abuse ?
L'avenir, c'est les autres, comme le CT c'est moi, non, non, et non ! Je vous apprends sans doute que les "taxes pétrolières" prélevées par l'Etat donc sur les ventes de pétrole, comme ce n'est pas rappellé ds les articles (merci les journalistes) ça doit si mes souvenirs de mon stage à Bercy sont bons avoisiner les 80% du prix du litre d'essence, si ce n'est plus !!! Ce qu'il fallait rappeller. Quand les pauvres plient sous le coût de la hausse, c'est encore à l'Etat qu'ils le doivent. Youpla.
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Thierry Breton exclut de baisser les taxes pétrolières
BORDEAUX (Reuters) - Thierry Breton a déclaré mercredi qu'il n'était "pas question de baisser les taxes sur les produits pétroliers" en France comme ailleurs, en dépit de la flambée des prix du pétrole.
"J'étais aux réunions du Fonds monétaire international (FMI) ce week-end à Washington. Nous avons beaucoup parlé de cette question", a expliqué le ministre de l'Economie sur France 3 Aquitaine, en marge d'une visite à Bordeaux.
"Tous les pays unanimes, je dis bien tous, ont dit qu'il était hors de question de baisser les taxes sur les produits pétroliers parce que c'est l'idée inverse qu'il faut faire", a-t-il ajouté.
Pour Thierry Breton, le pétrole est désormais une "denrée rare".
"Nous sommes rentrés dans la période de l'après-pétrole. C'est clairement ce qui caractérise notre monde aujourd'hui. Pour cela il faut nous y préparer. Il faut apprendre à consommer autrement", a-t-il ajouté, rappelant qu'il avait demandé au FMI de jouer un rôle dans la surveillance du marché pétrolier.
Le ministre de l'Economie a souligné que ses services surveillent quotidiennement "ce qui ce passe sur les prix à la pompe", et a souhaité "qu'il y ait plus de concurrence".
"Les services de la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes sont désormais mobilisés", a-t-il indiqué.
Thierry Breton a rappelé qu'il avait réuni les pétroliers à Bercy au mois de septembre alors qu'on constatait "un pic où le prix de l'essence était nettement supérieur".
"Ceci a été suivi d'effet. Je surveille ça avec la plus grande attention. Si jamais il y avait des distorsions sur les marchés, j'en tirerais les conséquences", a-t-il prévenu.
Il a rappelé qu'il avait demandé à cette occasion aux compagnies pétrolières qu'elles "réinvestissent davantage une partie de leurs profits et de leurs bénéfices d'abord pour le raffinage, et deuxièmement pour préparer l'après-pétrole".
"Il y a une nécessité pour les compagnies pétrolières de réinvestir d'avantage pour que l'offre soit de nouveau surabondante" pour faire baisser la tension sur les cours, a-t-il dit.
Il a d'autre part indiqué qu'il faudrait consommer moins et que pour y parvenir "nous allons bien entendu inciter les uns et les autres à le faire".
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